Structure
La façon dont Odense procède, c’est que si l’une des parties construit une interface, celle-ci peut être une tâche attribuée à une autre partie, et vice-versa. Toutes les tâches ainsi créées sont supervisées par les représentants d’Odense.
Dans Easy Project, chaque interface est représentée par une tâche. Il s’est avéré que les interfaces peuvent être facilement gérées en tant que tâches au sein du système. Toutes les données et informations importantes peuvent être sauvegardées dans leurs tâches respectives par le biais de leurs champs natifs et personnalisés que nous avons implémentés. Bien sûr, les communications associées sont conservées dans les commentaires de la tâche (l’interface) et les fichiers nécessaires y sont attachés.
Il était également important que le client associe chaque interface aux autres interfaces connexes. Dans Easy Project, la fonctionnalité « tâches connexes » est la solution la plus optimale dans ce cas. Toutes les interfaces connexes peuvent être sélectionnées et reliées les unes aux autres. Cela permet une navigation rapide d’une interface à l’une de ses interfaces connexes.
Étant donné que chaque interface comporte différents aspects d’un même projet, ce qui crée une structure différente des structures traditionnelles du genre « un projet, une tâche », l’accès et les permissions peuvent être bien définis pour chaque interface.
Modèle de projet
Afin d’améliorer l’expérience utilisateur, nous avons enregistré un modèle de projet dans le système. À ce modèle, nous avons ajouté tous les utilisateurs internes qui travaillent sur chaque interface en tant que membres du projet, tout en attribuant à chacun d’eux des autorisations particulières. La structure de ce modèle est construite de façon aussi simple que possible. Un seul module de projet — tâches — est activé et il n’y a qu’un seul traqueur de tâches configuré pour répondre aux exigences d’une interface donnée. Chaque nouveau projet est configuré en se basant sur ce modèle.
Interface utilisateur
Hormis les détails de l’interface où les données concernant sa progression et ses aspects particuliers sont sauvegardées, le registre d’interfaces est un autre élément important pour chaque utilisateur. Le registre d’interfaces est une liste de toutes les interfaces triées par leur numéro d’interface (un champ personnalisé auto-incrémenté dans Easy Project) où les noms et les détails importants des interfaces (personnes et parties responsables, dates, etc.) sont affichés. Dans Easy Project, le registre d’interfaces est représenté par des requêtes de tâches (listes de tâches) dans lesquelles des filtres peuvent être appliqués ou sauvegardés selon n’importe quel critère d’interface. Jusqu’à présent, nous avons créé un filtre pour les interfaces en retard afin que l’on puisse rapidement les traiter pour rattraper les retards enregistrés. L’utilisateur peut facilement parcourir les détails de l’interface sur laquelle il veut travailler à partir du registre d’interfaces simplement en cliquant sur le nom de la tâche (de l’interface).
Tableaux de bord
La majorité des utilisateurs ont seulement besoin d’utiliser les trois interfaces décrites ci-dessus dans l’application, à savoir : les détails d’interfaces, le registre d’interfaces et une nouvelle configuration d’interface. C’est pourquoi l’un des objectifs de l’implémentation était de permettre aux utilisateurs de passer facilement d’une de ces interfaces à une autre. Un tel aspect s’est avéré difficile à s’implémenter à cause du fait que l’application est assez complexe même dans sa version de base. Par exemple, une fois qu’un utilisateur est connecté, il est automatiquement dirigé vers son tableau de bord personnel et personnalisable. Comme il n’est pas possible d’interdire à l’utilisateur de visiter ce site, nous y avons posté un tableau d’affichage avec un lien vers le registre d’interfaces (requête de tâches) sous forme d’un bouton et nous avons ajouté d’autres liens utiles dans le menu du haut. Par contre, nous avons supprimé les signets habituels « tâches » et « projets » du menu du haut.
Pour les utilisateurs internes, nous avons établi des comptes-rendus indiquant le nombre d’interfaces définies par chaque partie ainsi que le nombre d’interfaces attribuées à chaque partie.